Voilà un exploit que personne ne pourra contester, même si cette étrange histoire est aussi étrange qu’invraisemblable.


Une marocaine du nom de Zahra Boutaleb tombe enceinte en 1956, elle imagine être malade et va consulter un médecin dans un hôpital marocain. A l’époque, les connaissances en matière médicale sont malheureusement limitées faute de moyens, et la grossesse n’est pas décelée.

Rassurée de ne pas être malade, Zahra continue sa vie sans se préoccuper du fœtus qui poursuit sa gestation. Au bout de neuf mois de grossesse, il y a mort fœtale in utero, le bébé meurt pour une cause indéterminée. En tant normal, lorsque le diagnostic est suspecté, la femme doit être hospitalisée pour éviter d’éventuelles complications, sinon dans la plupart des cas, l’accouchement se produit spontanément.
Mais dans le cas de Zahra qui ne se rend compte de rien, un événement pour le moins surprenant se produit dont Seul Allah Soubhana wa ta’ala détient le secret.
Au lieu d’être éjecté, le fœtus subi une transformation et se fossilise grâce à une coque de calcaire produit par l’organisme de la mère. Un « isolant naturel » qui va permettre au fœtus de séjourner durant 46 ans dans le ventre de la mère sans nuire à sa santé.

En 2002, Zahra constate des « lourdeurs au ventre » et consulte un médecin à Rabat. Celui-ci n’en revient pas lorsqu’il découvre que sa « lourdeur » provient du fœtus qu’elle porte et qui atteint le poids de 4 kilos.
Le chef du service de gynécologie-obstétrique de la maternité du CHU de Rabat, Pr Ouazzani Taibi a pratiqué une ouverture chirurgicale de la paroi abdominale pour libérer la pauvre femme du « fossile » qu’elle a porté durant 46 longues années.
Une chaîne américaine avait consacré en 2014 un documentaire de 46 minutes à cette histoire à peine croyable.
Aujourd’hui Zahra à 80 ans et elle détient encore cet étonnant record qu’aucune femme au monde n’est prête à battre.

Source: alnas.fr