« Quiconque jeûne le mois de Ramadan poussé par sa foi et dans l’espoir de la récompense divine, Dieu l’absout de tous ses péchés passés » (Al-Boukhari et Mouslim).


« Quand arrive le mois de Ramadan, on ouvre les portes du Paradis, on ferme celle de l’Enfer et les démons sont mis aux fers. Un crieur crie alors : ô toi qui veux le bien, viens ! Et toi qui veux le mal, abstiens-toi ! » (Al-Boukhari et Mouslim).

Dieu honoré et glorifié a dit : « Tout ce que fait le fils d’Adam est pour lui-même sauf le jeûne, il est pour Moi et c’est moi qui en donne la récompense. Le jeûne est un bouclier. Quand l’un de vous jeûne, qu’il s’abstienne de dire des choses obscènes et d’élever la voix. Si quelqu’un l’insulte ou le provoque au combat, qu’il se contente de dire « Je suis en état de jeûne ». Par celui qui détient l’âme de Mohammad (BDSL) dans sa main, la mauvaise haleine du jeûneur a certainement pour Dieu une meilleure odeur que le musc. Le jeûneur connaît deux joies : Quand il rompt son jeûne il se réjouit, et quand il rencontre son Seigneur, il se réjouit de son jeûne » (Al-Boukhari, Mouslim).

« Quiconque rompt le jeûne d’un jour du Ramadan sans qu’il soit exonéré par une permission divine, ne pourras récupérer ce jour là même s’il jeûnait toute sa vie » (Abou ­Daoud ; Ibn Majah ; At- Tirmidhi).